Édition du mardi 26 juin 2012
Le ministre de l'Intérieur annonce la création de zones de sécurité prioritaires dès septembre
Devant la 62e promotion de l’Ecole nationale supérieure de police de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or (Rhône), le ministre de l'Intérieur, Manuels Valls, a annoncé lundi 25 juin la création en septembre des premières zones de sécurité prioritaires. «Engagement du président de la République, ces zones consisteront à mettre en place une action de sécurité renforcée sur des territoires bien ciblés, caractérisés par une délinquance enracinée et de fortes attentes de la population», a-t-il annoncé dans son discours.
Elles «pourront concerner des cités sensibles soumises à des épisodes de violences urbaines, à l'économie souterraine qui mine les normes du pacte républicain, des centres-villes à la physionomie dégradée [par] des nuisances diverses, des zones péri-urbaines où se développent les cambriolages», a-t-il précisé. De telles zones concerneront «plusieurs quartiers contigus d'une même circonscription ou de circonscriptions différentes»», a précisé l'entourage du ministre. Elles ne couvriront pas des territoires homogènes avec les mêmes problématiques de délinquance. Selon Manuel Valls, «elles pourront ainsi concerner des cités sensibles soumises à des épisodes de violences urbaines, et à l'économie souterraine qui brise les normes du pacte républicain, des centres villes, à la physionomie dégradée en raison de nuisances diverses, ou encore des zones péri-urbaines où se développent, par exemple, les cambriolages».
Le ministre a ajouté que «les réponses apportées ne sont, évidemment, pas de la même nature dans ces différentes situations. Dans les circonscriptions concernées par la mise en place de telles zones, il vous faudra contribuer à la conception d'un dispositif capable de répondre aux particularismes locaux».
La mise en place des zones, dont soixante pourraient voir le jour en septembre, dépend «des arbitrages budgétaires et des créations de postes auditées cet été dans un contexte financier tendu», a toutefois reconnu Manuel Valls. Il s'agira ensuite d'expérimenter le système, dont le travail de suivi pourrait relever du Parlement.
Elles «pourront concerner des cités sensibles soumises à des épisodes de violences urbaines, à l'économie souterraine qui mine les normes du pacte républicain, des centres-villes à la physionomie dégradée [par] des nuisances diverses, des zones péri-urbaines où se développent les cambriolages», a-t-il précisé. De telles zones concerneront «plusieurs quartiers contigus d'une même circonscription ou de circonscriptions différentes»», a précisé l'entourage du ministre. Elles ne couvriront pas des territoires homogènes avec les mêmes problématiques de délinquance. Selon Manuel Valls, «elles pourront ainsi concerner des cités sensibles soumises à des épisodes de violences urbaines, et à l'économie souterraine qui brise les normes du pacte républicain, des centres villes, à la physionomie dégradée en raison de nuisances diverses, ou encore des zones péri-urbaines où se développent, par exemple, les cambriolages».
Le ministre a ajouté que «les réponses apportées ne sont, évidemment, pas de la même nature dans ces différentes situations. Dans les circonscriptions concernées par la mise en place de telles zones, il vous faudra contribuer à la conception d'un dispositif capable de répondre aux particularismes locaux».
La mise en place des zones, dont soixante pourraient voir le jour en septembre, dépend «des arbitrages budgétaires et des créations de postes auditées cet été dans un contexte financier tendu», a toutefois reconnu Manuel Valls. Il s'agira ensuite d'expérimenter le système, dont le travail de suivi pourrait relever du Parlement.
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